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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 08:25

USAP Larmes

 

La descente, ce vilain spectre… Il guettait l’USAP depuis quelques jours c’est maintenant une réalité, le club de rugby de Perpignan jouera l’an prochain à l’échelon inférieur. C’est un drame pour le rugby français, pour la ville de Perpignan rouge de colère et pour ce club qui triomphait en championnat dans un passé tout récent. L’exploit dans l’antre des Jaunards était tout proche mais finalement la marche était trop haute pour ces petits Arlequins de l’USAP. Au regard de la saison, le déclin sportif est indéniable avec comme un symbole le départ de leur capitaine Nicolas Mas en début de saison pour l’ennemi régional Montpellier qui incarne la fraîcheur et un club qui incarne le futur en titillant depuis peu les sommets. Déclin sportif dans les résultats et l’effectif, perte du leadership régional : l’USAP doit maintenant tout reconstruire pour retrouver au plus vite sa place parmi l’élite. L’USAP nous manquera mais on se souviendra longtemps de ce combat acharné lors de la dernière journée. Maintenant, il faudra aller batailler chez d’anciens pensionnaires du Top 14 comme Bourgoin, Agen et le derby face à Béziers une sorte de balade rugbystique pour retrouver ses valeurs et les fondamentaux qui font vibrer Aimé Giral qui en a bien besoin pour sécher ses larmes.

 

El Metropolitano, le 05/05/2014

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2 août 2012 4 02 /08 /août /2012 08:23

JO-2012.jpg

« Baisser les bras dans une compétition sous prétexte qu’on ne peut terminer premier est incompatible avec l’esprit du sport ». Eric Tabarly

 

El Metropolitano, le 02/08/2012

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 17:24

Catalunya+

La chaine cryptée est entrée dans une nouvelle ère. Après avoir longtemps préparée le terrain dans son émission du dimanche soir pour les footeux, Canal diffusait un documentaire sur Lionel Messi dit « Léo » pour les intimes, (on comme pour les jeunes enfants). Pourtant, les journalistes de Canal semblent avoir fait table rase de beaucoup de choses pour proposer un documentaire qui avec un parti pris jamais égalé jusqu’à présent, défendait en gros que Messi c’est Dieu ! Il semble même que bientôt sur les hauteurs de Barcelone, au Tibidado une (petite) statue rejoigne celle du Christ qui est la même que celle de Rio. Léo le petit, mais Léo le virtuose, le talent précoce, une enfance où Léo s’est fait prescrire 900 euros de médicaments chaque mois pour grandir. Pour devenir le grand Messi, ou peut être simplement l’histoire du sportif le plus dopé de toute l’histoire du sport. Petit parmi les grands, Léo n’aura jamais l’aura de Diego Maradona. Léo ne marchera jamais sur les traces de Pelé vainqueur de sa première coupe du Monde à simplement 17 ans. Léo vit dans le confort de son club de toujours le FC Barcelone, mais quand vient l’heure de changer de système en sélection, Léo piétine, Léo est perdu comme un jeune footbaleur qui cherche encore à trouver sa place, à marquer définitivement l’histoire. Car même si Léo Messi est l’un des plus grands joueurs du football actuel, il lui manque encore le fait d’arme qui restera à jamais dans l’histoire du football et ça Catalunya+ semble l’avoir oublié au moment de dévoiler « l’ intégrale » du prodige, à croire que son histoire est déjà finie...

 

El Metropolitano, le 20/11/2011

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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 20:09

Contador.jpg

Quelques heures après l’arrivée au sommet de l’enfer du Galibier, Alberto Contador a retrouvé ses esprits et un léger sourire après avoir passé une bonne partie de la journée à grimacer. L’heure est à la récupération et à la détente en évitant de regarder de trop près le classement général du tour de France qui indique ce soir que Contador va devoir mettre une croix sur la victoire à Paris ce dimanche. Cette arrivée du tour ressemble à soir où un grand champion doit malheureusement s’avouer vaincu. Vaincu par plus fort que lui... Ou plus chanceux, un de ceux qui n’a pas chuté au cour de la première semaine, un de ceux qui a dompté la dure loi du Tour. Alberto est assis sur le siège au bar de l’hôtel, le serveur arrive et il commande un verre de whisky comme un certain Floyd qui s’était mis à rêver un soir de fringale à un possible numéro le lendemain… Alberto termine son verre, un coéquipier l’appelle pour passer à table. Au menu ? Pâtes, riz et une belle pièce de bœuf d’origine espagnole…

 

El Metropolitano, le 21/07/2011

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 08:16

 

RG-balle.jpg

Chaque année, à la même époque la petite balle jaune refait son apparition porte d’Auteuil pour le plaisir des petits et des grands. Cocorico, Roland reste à Paris, peut-on s’écrier cette année dans les allées ! Victoire ! Clap de fin... Roland, c’est aussi la fin de l’année scolaire qui pointe le bout de son nez. Cela veut dire que les lycéens doivent commencer à bucher sur leur bac, et les étudiants réviser leurs partiels... Moi même, j’adorais réviser en regardant Roland Garros. Je tournais les pages de mon livre d’histoire en même temps que les échanges entre les joueurs, les chapitres paraisaient moins longs : A moi la Révolution, et vive la République ! Changement de côté, place à la Moncharchie de Juillet ! Après mon goûter, un match s’arrête sur le central, un autre commence sur le Lenglen, pas grave je passe de l’histoire aux mathématiques ! Soudain, le joueur conteste une balle, elle est bonne s’écrie l’arbitre comme l’opération que je viens de gribouiller sur ma feuille de brouillon ! Ah ces révisions devant Roland ça avait du bon, la transmission du savoir par la pensée, l’art de regarder au loin les petites lignes de notre triste classeur de philosophie tout en s’interrogeant sur le faire ou ne pas faire le revers à deux mains ? Ou de l’art de jouer avec la manière ? Tout un programme qui mériterait bien plusieurs copies double... Mais 15 jours de Roland ça passe trop vite, comme les révisions : comment rattraper le temps perdue de l’année écoulée en un seul dimanche après-midi ? Pas grave, place à la finale demain Roland sera terminé et j’irais rejoindre mon centre d’examen pour griffoner sur ma copie blanche tout le savoir que m’on inspiré ses derniers jours à regarder les joueurs sur la terre rouge Parisienne. Mais après, demain dès l’aube je m’envollerais doucement vers la chaleur de l’été, le chant des cigales et le sable des vacances...

 

El Metropolitano, le 27/05/2011

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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 08:13

Ronaldo.jpg

Le 12 Juillet 1998, le monde du football retient son souffle nous sommes à quelques heures de la finale de la coupe du Monde, la France toute entière se met à rêver à un exploit de cette équipe Black-Blanc-Beur qui va affronter la grande Seleçao. Ce Brésil c’est celui du grand Ronaldo, 1998 ça doit être sa coupe du Monde c’est écrit, c’est son destin il va triompher et soulever le trophée dans l’arène de Saint-Denis. Et pourtant, ce 12 juillet rien ne se passe comme prévu. Le génie Brésilien est malade, pendant quelques minutes il est même annoncé sur la touche. A l’heure de l’entrée des joueurs il est pourtant bien là mais diminué… ce soir là, le héros sera dans le camp d’en face. Il vient de rater son rendez-vous avec l’histoire. Ainsi en a été la carrière de Ronaldo, un jour éblouissant avec des accélérations et des passements de jambes foudroyants, un autre soir à terre quand le fil craque… Genoux maudits ! Du Brésil avec le Cruzeiro avant d’éblouir l’Europe avec le PSV, Ronaldo est au sommet : Barcelone l’accueille et réalise une saison fantastique en 1997. Puis c’est Moratti qui le fait venir pour son Inter qui a bien besoin du Brésilien pour rouvrir la vitrine des trophées du club. Mais l’Italie c’est aussi le temps des larmes et des blessures… Mais qui d’autre que Ronaldo pouvait faire un retour aussi fracassant après de si graves blessures ? Après son échec en France, le Brésilien illumine par son génie la coupe du Monde 2002 et marque le but décisif en finale. En Espagne, Florentino Perez commence à construire l’équipe des Galactiques et c’est naturellement que le plus grand numéro 9 de l’histoire rejoint le plus grand club du Monde après le mondial Asiatique. Cette fois-ci le héros de 1998 est avec lui pour le faire rayonner et le servir parfaitement dans l’espace pour qu’ensuite le génie accélère avec sa facilité légendaire, exécute naturellement une première feinte, puis un petit passement de jambe, un deuxième, un troisième enfin pour finir… son adversaire vient de comprendre le tour malicieux mais il est déjà trop tard la star a déjà les bras levés vers le ciel pour célébrer son but…

 

El Metropolitano, le 15/02/2011

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 22:26

Roland-Romeyer.jpg

  Monsieur Romeyer attendu que selon le bon proverbe : il faut déjà faire le ménage devant sa porte avant d’aller regarder devant celles des autres, comment vous risquez-vous à critiquer les manœuvres des prétendus « grands clubs » quand vous aussi avez osé mener des pratiques quelques peu obscures… Laissons de côté la très belle affaire des faux passeports qui emmena directement votre club en Division 2 et gratifia le football français de très beaux épisodes dans la rubrique des faits divers. En effet, il est préférable de revenir aux derniers tumultes qui vous avez sans doute oublié au moment de prendre la parole samedi dernier accompagné de Saint-Ange Dominique le patron de l’éthique national. Monsieur Romeyer, n’est-ce pas vous qui avez oser sous-« valoriser » Pascal Feindounou afin de réduire le montant à rétrocéder à son ancien club (Bordeaux) tel que le stipulait le contrant de transfert ? Bien entendu vous n’avez pas oser vendre Nivaldo a un prix défiant toute concurrence par la même occasion… comme de bien entendu il n’y a que les nababs du Golfe pour ne pas voir que ce Brésilien n’a aucun don pour le ballon rond. Mais j’allais oublier l’affaire Piquionne où Monaco vous a payé par 2 fois un joueur ou plutôt un patineur artistique en vous octroyant la totalité du % sur la vente lors de son transfert de l’ASM à l’OL: joli coup de fric Roland, il fallait bien le prendre le beau et joli pognon ! Mais comment ne pas rappeler votre attitude à l’encontre d’un joueur du PSG ce soir de l’année passée où vous avez déposé une réclamation obscure sans aucun fondement en ayant un jugement quelque peu hâtif sur la prétendue fausse identité de Monsieur Apoula Edel. Vous comprendrez Monsieur Romeyer que même si le mercato d’hiver est c’est vrai bien inutile sauf pour vendre les journaux à vos supporters, nous pouvons quelque peu sourire au moment où vous nous avez gratifié d’un cours de français en nous lisant votre email adressé à votre confrère du Paris SG… Décidément Roland vous avez bien du mal à restaurer l’esprit des plus forts qui régnait à la grande époque des Verts. Pour le moment l’ASSE rime plutôt avec piquette : Allez ce n’est qu’un goût de bouchon Roland !

 

El Metropolitano, le 03/02/2011

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:54

Arbitres

Au Nord c'étaient les cartons
La terre c'était le charbon
Le ciel c'était l'horizon
Les hommes des Tony Chapron...

 

El Metropolitano, 13/09/2010

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 08:02

Joubert-Brian.jpgDans la famille des têtes à claques du sport français, j’appelle Brian Joubert. La semaine dernière sur la glace de la patinoire de Vancouver, le français a ridiculisé le sport français, a bafoué les valeurs du sport et les règles de l’olympisme. Brian Joubert qui au moment d’entrée en piste pensé pouvoir jouer les premiers rôles après avoir brillé lors de ses entraînements et s’être entraîné d’arrache pied durant des mois. Mais, il était une nouvelle fois écrit que ce « petit con » de Brian succombe au stress de la compétition au moment d’exécuter son premier triple saut la mécanique limpide des entraînements s’est enrayé à la réception et patatra ! Un atterrissage sur la glace mal assuré puis une chute sur la deuxième difficulté de son programme court ont suffit à faire craquer Brian Joubert qui au moment de recevoir le verdict sans appel des juges commenta sa performance à coup de « putain, j’y arriverai pas » ! Triste spectacle auxquels ont pu assisté les français et les jeunes enfants qui rêvent peut être de faire du patinage.  Lâché dans le classement Brian pouvait au moins essayé de retrouver de bonnes sensations en compétition, se faire plaisir, montrer un nouveau visage et se libéré totalement sur son programme libre. Plus dure sera la chute… Une absence total d’implication, une nonchalance insolente et un manque évident de plaisir à exécuter ses pirouettes et sa chorégraphie marquèrent son programme qui se déroula comme un long chemin de croix vers la sortie et une réaction enfin sincère : « Ca fait 2 ans que je suis un petit con ! », rassure toi Brian ça c’est vue ! Une vraie tête à claques ! Et dire que le contribuable paye pour financer tes caprices et tes tracas de sportif qui ne mérite pas de représenter la France et de participer à une compétition dont le plus grand des honneurs et déjà de faire partie, d’être de ceux qui entrent dans le stade dans les crient joyeux de la foule en quête des lauriers et de l’or olympique porté par la flamme olympique qui flambe dans leur cœur avec en tête les valeurs du Baron Pierre de Coubertin.

 

El Metropolitano, le 22/02/2010

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 09:23


1-copie-1

S’il fallait mettre un titre de chanson sur le club de football du Paris Saint-Germain, il faudrait probablement choisir la chanson des Têtes raides : Qu’est-ce qu’on se fait chier ! Il faut en effet se rendre à l'évidence, le PSG ne fait plus bander, ni rêver. L’état de crise ou de non crise du PSG suit la logique inplacable du sport, qui peut la qualifié d’une équipe très moyenne de notre L1 nationale. Et oui, il est bien loin où le PSG dansait encore la samba au Parc des Princes aux rythmes des déhanchés de Ronaldinho, même si cela se déroulait aussi bien souvent avec des hôtesses dans des chambres d’hôtels des mises au vert avant les matchs. Fini le temps des transferts louches, les caisses sont vides et les comptes déficitaires chaque année : pas de nouvelle affaire au tribunal en vue ! Le PSG est devenu un club blanc comme neige. Blanche comme l’attitude de Stéphane Sessegnon qui n’a  pas été pris au vol d’un excès d’alcoolémie depuis quelques mois, mince ! Même Jérôme Rothen qui avait osé déchiré un trac de supporter (rendez-vous compte de l’insulte) avant d’être flashé en excès de vitesse (pas sur son côté gauche, rassurez-vous) mais sur l’A13 au volant de sa voiture de sport, n’est plus là. Rayon automobile toujours, plus rien à signaler dans le parking du Parc, Luis n’est plus là pour accrocher l’arbitre à la fin des rencontres. Tout ça pour dire qu’avec le PSG, ces derniers temps on s’emmerde sévère., il y a  même plus une taupe au camp des loges pour balancer quelques anecdotes rigolotes sur le vestiare. Même le calendrier 2010 des joueurs avec les filles du Moulin Rouge ne fait rêver personne, c'est bien normal, où est le strass et les paillettes dans cette équipe? Sur le plan sportif le club végète, comme d’habitude vous me direz mais il est bien calé dans le ventre mou du classement. Pas d’enthousiasmante course au maintien en vue pour cette année, ni de rêve d’Europe, le PSG n’a pas les épaules assez large pour ça voyons : le club finira l’année au milieu du tableau et avec un peu de chance remportera une petite coupe nationale en guise de lot de consolation. La coupe parlons en, cette année elle offrait au PSG un rendez-vous piège au premier tour de la coupe de France, un vrai derby parisien face à Aubervilliers. Ce n’est pas le Paris FC, le Racing ou encore le Red Star mais c’est ce qu’on appelle un vrai grand derby francilien. Par les temps qui court, il faut essayer de survendre les matchs, au PSG c’est même devenu le sport national à la direction du club. Pour fêter ce derby, la ligue de football avait oser faire les choses en grand : un match diffusé en prime time un dimanche soir sur Eurosport en plein mois de janvier, température polaire de rigueur , un Parc quasi vide avec seulement 13000 supporters, même la neige était au rendez-vous ! Tout avez été fait pour que le PSG se casse la gueule, pour qu’on rigole un peu comme au bon vieux temps : rappelez-vous la Corogne, Clermont ou Gueugnon ! C'était le bon temps ! Manque de peau, la ligue a raté son coup, le PSG n’a pas tremblé face aux partenaires de CFA2 de Steve Marlet et s’est imposé tranquillement 5 à 0 dans l'indifférence la plus total. Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas…

 

El Metropolitano, le 13/01/2010
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  • : Terminus
  • : Terminus... tout le monde descend ! Le métro s'arrête, les voyageurs descendent sur le quai de la gare et s'engouffrent à toute allure dans les couloirs du métro en direction d'une sortie vers le monde extérieur et la lumière d'une nouvelle journée qui commence. Prochain arrêt : politique, sport, art, culture ou économie... à vous de choisir votre direction dans le dédale du métro.
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erminus... tout le monde descend !


Le métro s'arrête, les voyageurs descendent sur le quai de la gare et s'engouffrent à toute allure dans les couloirs du métro en direction d'une sortie vers le monde extérieur et la lumière d'une nouvelle journée qui commence. Journal à la main ils viennent peut être de découvrir les informations, ou ont entendus de petites brêves que s'échangent deux collègues non loin d'eux. Stop ou encore la correspondance vers le train de l'actualité n'attend pas : attention le train repart ! Prochain arrêt : politique, sport, art, culture ou économie... à vous de choisir votre direction. Montez dans la rame jusqu'au Terminus du train ou s'échange l'actualité et les polémiques sur le Monde qu'il va falloir regagner quand le train s'arrêtera et que le conducteur signalera au voyageur le terminus du train et le moment de remonter vers la lumière du jour...

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