Dans la famille des têtes à claques du sport français, j’appelle Brian Joubert. La semaine dernière sur la glace de la patinoire de Vancouver, le français a ridiculisé le sport français, a bafoué les valeurs du sport et les règles de l’olympisme. Brian Joubert qui au moment d’entrée en piste pensé pouvoir jouer les premiers rôles après avoir brillé lors de ses entraînements et s’être entraîné d’arrache pied durant des mois. Mais, il était une nouvelle fois écrit que ce « petit con » de Brian succombe au stress de la compétition au moment d’exécuter son premier triple saut la mécanique limpide des entraînements s’est enrayé à la réception et patatra ! Un atterrissage sur la glace mal assuré puis une chute sur la deuxième difficulté de son programme court ont suffit à faire craquer Brian Joubert qui au moment de recevoir le verdict sans appel des juges commenta sa performance à coup de « putain, j’y arriverai pas » ! Triste spectacle auxquels ont pu assisté les français et les jeunes enfants qui rêvent peut être de faire du patinage. Lâché dans le classement Brian pouvait au moins essayé de retrouver de bonnes sensations en compétition, se faire plaisir, montrer un nouveau visage et se libéré totalement sur son programme libre. Plus dure sera la chute… Une absence total d’implication, une nonchalance insolente et un manque évident de plaisir à exécuter ses pirouettes et sa chorégraphie marquèrent son programme qui se déroula comme un long chemin de croix vers la sortie et une réaction enfin sincère : « Ca fait 2 ans que je suis un petit con ! », rassure toi Brian ça c’est vue ! Une vraie tête à claques ! Et dire que le contribuable paye pour financer tes caprices et tes tracas de sportif qui ne mérite pas de représenter la France et de participer à une compétition dont le plus grand des honneurs et déjà de faire partie, d’être de ceux qui entrent dans le stade dans les crient joyeux de la foule en quête des lauriers et de l’or olympique porté par la flamme olympique qui flambe dans leur cœur avec en tête les valeurs du Baron Pierre de Coubertin.
El Metropolitano, le 22/02/2010