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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 13:59

Notre équipe de France est face à son destin, décrocher le précieux sésame pour l’Afrique du Sud ou s’offrir 1 mois de vacances supplémentaire l’été prochain. Nos bleus vont tout donner, il faut croire en cette équipe car elle a tout pour gagner. Avec les Henry, Anelka, Gallas et à l’insouciance du jeune talent de Gourcuff ou encore Gignac elle est loin d’avoir à rougir du passé glorieux de nos héros de 1998 et 2000. La qualité est présente dans toute les lignes de cette équipe, ne reste plus que former un bloc et une vraie équipe qui joue son sport : le foot, libérez-vous ! Faites-vous plaisir ! Moi je suis sûr d’une chose, c’est que nos Bleus vont se qualifier, le contraire est inimaginable pour l’avenir de l’équipe de France, ses partenaires pour qui les enjeux financiers sont énormes mais aussi et surtout pour l’ensemble de la grande famille du football français des équipes de jeunes Poussins ou Benjamins, aux amateurs du dimanche matin en passant par nos starlettes de la Ligue 1 et même les « Footix » qui n’y connaissent rien au ballon rond, tout ce petit Monde ne demande qu’à bander pour vous et chanter tous en cœur : Allez les Bleus ! Ne nous décevez pas, vous pouvez le faire, vous devez le faire. La victoire est en vous, nous sommes derrière vous. Même si les Irlandais vous promettent l’enfer à Croke Park, il ne manque pas d’Eire… ils ne savent pas ce qu’ils les attendent samedi soir sur le près. Surprenez-nous ! Notre chance c’est vous, nous sommes derrière vous. La première page de votre histoire, de cette aventure commence samedi : prochaine étape Croke Park.









El Metropolitano, le 13/11/2009

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 10:20
Dimanche soir, 21h la France du football va s’arrêter pour regarder le match entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain, ce match c’est plus qu’un match c’est le « classico » de notre petit championnat de France qui n’a pas trouvé mieux que de se focaliser sur cette rivalité préfabriquée entre les 2 plus grandes villes de France. Marseille, c’est le sud, la ville qui représente le reste de la France ce que les Parigos appelle avec dédain la « Province ». En face, Paris c’est la France, sa capitale, le pouvoir centralisé, la grandeur de ses monuments mais aussi la froideur où vivent bon nombre de Fadas. La capitale face à Marseille sur le plan sociologique c’est une vraie rivalité historique, mais sur le plan sportif c’est un vide. En effet, au début des années 1990, Marseille domine facilement le championnat ce qui devient ennuyeux pour Bernard Tapie qui vient juste de prendre les commandes du club, à Paris le Canal+ tente de relancer le football français et les audiences des matchs en achetant le PSG et en devenant ainsi un acteur incontournable du milieu. Tapie-Denisot, Marseille-PSG, c’est l’histoire d’un rapprochement qui a été orchestrer de toutes pièces, de ces « apprentis sorciers » du foot qui ont allumé un jour au coin du feu la mèche des rivalités entre les 2 clubs. Le boomerang été donc lancé, mais le retour est malheureusement incontrôlable puisque il donne lieu à un véritable embrasement médiatique qui enflamme la L1 chaque année mais qui débouche aussi sur la violence et la haine entre les supporters des 2 camps dans ce match qui exacerbe les passions. En terme de football, le spectacle est presque toujours absent, on compte plus les coups et on retient même plus les petites piques qui animent la presse la veille du match que les performances sportives. Seule la victoire compte, c’est le match à ne pas perdre mais c’est une victoire comme les autres. Cette année encore, Paris tentera de faire un coup pour lancer sa saison face à Marseille qui tentera de se replacer sur le podium de la L1, dans la tribune présidentielle Leproux et Dassier pourront comme Nanard et Michel au bon vieux temps discuter des échanges de joueurs à venir, des futurs transferts entre les 2 clubs et profiter le temps d’un soir de la vedette autour d’une bonne petite coupe de champagne. Bon match !

El Metropolitano, le 23/10/2009
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 23:41

Notre Raymond national était attendu au tournant lors de ce match au combien important pour l’avenir de l’équipe de France pour sa prochaine qualification aux barrages. Fidèle a son style et têtu dans ses idées, les deux Dupont étaient bien présents en début de match qui a vite tourné en faveur des Serbes a cause de cette action litigieuse sanctionné par la double peine… Un but sur penalty contestable, oui. Une erreur humaine, incontestablement. Mais l’arbitre de la rencontre, lui ne s’obstine pas dans la médiocrité contrairement à Raymond. Bousculé au cours de la semaine par Christophe Dugarry par voix de presse interposé, celui-ci souligné le manque évident de style de cette « équipe » de France contrairement à nos champions du Monde black-blanc-beur de 98, mais ce soir Raymond à tout  simplement répondu au champion : pourquoi se contenté de 2 milieux défensifs quand le style de 98 en imposé 3 ? Domenech l’a fait ! En sortant Gourcuff par Alou Diarra et en retirant Henry, Raymond a encore une fois joué petit bras dans son style si singulier. L’équipe de France a peut être un style mais celui de la France des barricades. La France de la ligne Maginot qui se fera déborder inéluctablement comme en 40. Domenech collectionne les erreurs professionnelles et le manque évident de sens tactique… Mais le plus grave est que la France va aux barrages et que avec de la chance le tirage ne sera pas trop dur et que nos « starlettes » marqueront au moment de composter le billet pour l’Afrique du Sud. Ah Raymond, tu va bien t’en tiré avec ton style têtu comme une mule et dire que l’on te critique alors que tu sais que tu a raison et que nous sommes seulement 60 millions a ne pas ouvrir les yeux.


El Metropolitano, le 09/09/2009

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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 11:19

« George Best était une légende, moi je suis juste un ancien joueur qui buvait », voilà comment Paul Gascoigne parle de lui alors qu’il est assurément un des plus grands talents du football anglais de tous les temps. Un enfant terrible de la balle qui a gâché sa carrière à cause de ses multiples addictions, il était : un accros à l’alcool, dépendant à la cocaïne, addict au Red Bull, consommateur régulier de laxatif et autres bonbons à la gomme... Si Paul avait été sobre toute sa vie, il aurais été sûrement un des plus grands footballeur du siècle car il avait le tallent mais une hygiène de vie déplorable. Et pourtant quelle carrière ! Même bourré, même complètement pété au vin ou au Brandy cela ne l’empêchait pas de planter but sur but et d’être à la fin élu très souvent le « Man of the match ». Il aurait pu connaître l’apothéose si son transfert à Manchester United c’était réalisé mais notre Eric Cantona était déjà là en attaque de MU donc il a finalement signé chez Tottenham. Il a bien sûr fait parti de la bande qui buvait ensemble lors des rendez-vous de la sélection anglaise avec Neville, Sheringham et autres collègues de la bouteille. Un jour lors d’un match avec les Rangers, son entraîneur lui a demandé s’il était bourré car il avait joué la première mi-temps comme une merde, Paul lui a répondu que non et son coach lui a dit : « Putain, mais va vite boire un coup », il s’est enfilé un triple Brandy et à claquer 2 buts au retour sur le terrain ! Pire, en match amical contre Maradona avec la Lazio de Rome, Paul lui dit en le croisant sur le terrain : « Diego, je suis complètement déchiré », le grand Diego lui répond « Paul, moi c’est pareil » : parole de génie du football qui n’ont pas résisté à la drogue mais qui ont marqué leur époque par leurs déboires, leurs charismes et leurs exploits.

 


 

El Metropolitano, le 03/09/2009

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21 août 2009 5 21 /08 /août /2009 13:50
Que reste-t-il du club de football de l’AS Saint-Etienne ? Ce club qui a tant fait vibré nos parents, de la fantastique épopée des verts avec les victoires de la bande à Patoche, Larqué, Rep, des buts de Rocheteau : il ne reste plus rien ! L’héritage des verts a été dilapidé, le passé glorieux est rangé au rayon des archives. Heureux le supporter qui vit encore avec les images de la finale de la Ligue des champions de Glasgow face aux Bavarois de Munich qui ont résisté aux vagues vertes grâce aux poteaux carrés maudits pour l’éternité, un match qui a marqué pour toujours nos parents, qui nous ont transmis cette légende d’une équipe qui représenté le beau jeu avec un maillot vert symbolisant l’espoir. Mais, le temps de la fête est termriné et le Chaudron ne bouillonne plus depuis trop longtemps déjà : les titres ont laissé place aux chaos et aux affaires louches. De l’histoire de la caisse noire, aux transferts douteux en passant par la grosse affaire des faux passeports, les verts sont tout simplement honteux et indigne de ce maillot en faisant certes toujours parler d’eux mais d’avantage dans la colonne faits divers que pour leurs performances sportives : c’est tout juste si le duo Alex-Aloisio lors d’une victoire face à Marseille ou le jeune Gomis avec ses 16 buts et un retour en coupe UEFA en 2008 a permis de refaire saliver (un peu) le stade Geoffroy Guichard qui ne demande pourtant qu’a rentré en  fusion de nouveau mais qui devra attendre encore…Car le chantier est vaste pour que le club retrouve une petite dignité, mais ce n’est pas avec les 2 Guignols qui sont à la tête du club, un directeur sportif qui a marqué les clubs dans lesquelles il est passé par son incompétence et un entraîneur qui a bien du mal à relever ce challenge impossible car chaque année la redescente aux enfers se rapproche un peu plus de manière inéluctable. En effet, les meilleurs éléments quittent le bateau, et pire, passe la tête haute chez l’ennemi lyonnais Gomis, Piquionne ou Coupet tous ont pris un jour un aller sans retour dans la nouvelle place forte du football français, tandis que certains préfère aller se dorer la pilule au Qatar que de rester dans cet embroglio infernal et sans issue. Qu’il est dur et courageux de soutenir encore cette équipe, mais quoi qu’il arrive, nous serons toujours là, nous les supporters pour attendre un signe de vie ou un souffle d’espoir qui réchauffera notre cœur qui ne demande pourtant qu’à chanter « Allez les verts !».

El Metropolitano, le 21/08/2009
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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 11:18
La capitale  de l’Allemagne abrite décidément un stade rempli d’histoire. Tout d’abord, il a abrité les grands débuts de la campagne de la prétendue et fantaisiste "race supérieure » du Reich lors des jeux olympique de Berlin en 1936 qui avait vu pourtant Jesse Owens, le grand sprinteur noir américain devancé et battre à plat de couture les concurrents aryens et faire enrager Adolf dans sa tribune. Puis le stade a été refait à neuf tour en gardant les vestiges du passé, de la construction de l’architecte Albert Speir pour les différentes coupes du Monde de football avec notamment le coup de boule de Zizou lors de la finale France Italie en 2006. Mais hier, c’est une nouvelle page du grand livre d’histoire du stade qui s’est écrite. A 21H46 un nouveau mur est tombé à Berlin, même s’il ne s’agit du mur du son, sa majesté Usain Bolt repoussé les limites du pensable en signant « ce gros truc ». Il a de nouveau défié les lois de la vitesse en signant dans une décontraction déconcertante un titre de champion du monde presque anecdotique tant le chrono à 9’58 sec marquera l’histoire de l’athlétisme pour toujours. Un chrono renversant donc à confirmer sur le 200m et le relais 4 fois 100m, et une attitude tout simplement à l’opposé des gros bras et autres pitbull qui se croisaient avant dans la course reine. Un smile, une fraîcheur et un  keep cool communicatif que même Powell l’autre jamaïcain paraissait détendu et fanfaron au départ. De Jesse Owens à Usain Bolt la piste de Berlin est bien un lieu où l’histoire du sport s’écrit de la plus belle des manières, à la force des bras vers la conquête du graal en or sur la ligne blanche de l’arrivée.

El Metropolitano, le 17/08/2009
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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 09:51

La Formule 1 va à nouveau faire parler d'elle, car c'est pas pour dire on commencé sérieusement à se faire chier en regardant les tutures tourner en rond sans rien ne se passe d'incroyable. De l'affaire Mercedes, qui avait volé les plans de l'écurie au cheval cabré aux rancoeurs d'enfants gatés entre Hamilton et Alonso, en passant par le manque de charisme évidement de Kimi et au départ de Jean Todt, la formule 1 était en train de mourir à l'image du grand prix de France. Et puis un accident de route, un semi drame la semaine dernière lorsque Felipe Massa a été assomé par un OVNI en provenance d'une Renault. Heuresement les jours du Brésilien ne sont pas en danger mais il va devoir se reposé pendant quelques temps. Et pour le remplacer, Ferrari fait les choses en grand, une légende vivante Michael Schumarer, le Barron rouge reprend du service. Il n'a pas pu résister à l'envie de reprendre le volant d'une F1 pour notre plus grand plaisir. Et surtout quel coup de communication pour Ferrari en perte de vitesse cette année. Ce retour, c'est tout de suite une hausse directe sur les ventes des produits dérivés de la marque (casquettes, drapeaux...), les articles dans la presse et surement des ventes de voitures en pleine crise de l'automobile c'est un vrai coup de pouce économique et même si rien est gagné sur le plan sportif pour Schumi : Maranello n'a pas terminé de vibrer au bruit du moteur des célébres voitures rouges...

El Metropolitano, le 31/07/09
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27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 10:44

Même si le sacre du meilleur coureur du monde déjà vainqueur du tour de France en 2006 du Giro et de la Vuelta ne faisait guère de doute au départ de Monaco, le scénario restait à écrire. En effet, l’équipe Astana avait 99,9% de chance de voir dans ces rangs le maillot jaune à Paris car emmené par autant de coureurs de renons comment pouvait-t-il en être autrement ? La concurrence a fait défaut sur ce tour de France 2009, Carlos Sastre le tenant du titre indigné par le manque de considération à son égard mais à côté du sujet tout au long de l’épreuve, Cadel Evans de la Silence Lotto a bien fait taire des ronflements inexistants, heureusement les frères Schleck on tenté d’attaquer dans les cols mais c’était déjà trop tard car les Astana avait déjà assommé la course lors du contre la montre par équipe de Montpellier plaçant idéalement ces coureurs dans le classement général… Il ne restait plus que le duel tant annoncé et rabâché dans la presse entre Lance Amstrong le revenant et Alberto Contador, un duel tendu qui a tenu toutes ces promesses car l’américain a bien répondu présent et à montrer que les grands champions ne meurent jamais. Le tour 2009 se résume en 2 images fortes : la cassure emmené par les Columbia et Amstrong qui relègue ce jour là Contador à 40 secondes, le bon vieux coup de la bordure sur les routes de Camargue qui piège chaque année les étourdis et Lance en bon routard à montrer là toute sa science tactique de la course en piégeant son propre leader. La seconde image c’est la réponse de l’élève au maître : le départ annoncé, la facilité déconcertante d’Alberto Contador dans la côte de Verbier en route vers son destin qui en une seule attaque remporte dès lors le tour, son second tour de France tandis que Lance Amstrong finie a une très belle 3ème place, inimaginable au départ quand on sait que sa fracture de la clavicule la tenue écarté des courses et a handicapé sa préparation. Le rendez-vous est déjà pris pour l’année prochaine pour le remake du duel qui cette fois sera un trio avec Schleck qui l’an prochain jouera pour la gagne !


El Metropolitano, le 27/07/09
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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 11:04
Le tour de France 2009 va s’élancer cette après-midi pour un très chic prologue dans la principauté de Monaco. Le peloton multicolore et la traditionnelle caravane du tour va à nouveau traversé de long en large et en travers nos belles régions de France, nos beaux villages, apercevoir nos magnifiques clochers et nos saisissants paysages. A cause du spectre du dopage, il y aura quelques absents de renoms : Rasmussen le seul coureur à sprinter plus vite dans les côtes, Landis qui carbure seulement au sky au moment du ravitallement, le grimpeur autrichien Bernhard Kohl aussi à l’aise dans les côtes que dans les chronos et tant d’autres. Il y aura tout de même les repenti, ceux qui se disent de nouveau propres comme David Millar et évidement nos petits français grimaçant qui ne roulent malheureusement qu’à l’eau plate… Malgrè tout le spectacle sera au rendez-vous avec l’équipe Astana emmené par Contador et Amstrong et leurs lieutenants Kloden et Leipheimer à surveiller eux aussi, Boonen l’accro à la coke qui frétille sur sa selle quand il aperçoit la ligne blanche de l’arrivée en lançant le sprint sur de bon rail, Sastre le tenant et l’australien Cadel Evans l’éternel second. Trois semaines de grands frissons à voir ses forçats de la route, grimper à des rythmes mortels les cols, traversés les vallées jusqu’au triomphe tant espéré sur les champs Elysée parisiens dans 3 semaines. Attention top départ…

El Metropolitano, le 04/07/09
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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 13:37


Karim Benzema, le nouveau, ancien, nouvel meilleur attaquant du monde. Un homme qui compte dans la galaxie football mondiale, mais aussi européenne, nationale, régionale et même communale à la simple échelle de Lyon, capitale du football français ou pas à l’image de son « prodige ». De sa star(lette) au melon qui va peut être se transformer en grosse pastèque si le transfert « fou » de l’ancien nouveau meilleur attaquant du Monde de France et de Navarre venait à se concrétiser. Mais pourquoi tant de superlatifs pour un joueur qui n’a pas encore prouvé qu’au pallier supérieur c'est-à-dire le niveau international aussi bien en équipe nationale mais aussi dans les grands matchs de C1 c'est-à-dire ceux qui sont à élimination après la phase des poules qu’il est l’homme des grands rendez-vous, celui qui sait faire la différence, le tueur sur qui on peut compter ou encore l’artiste qui éblouit par ses dribbles ou son efficacité redoutable. Et oui, il semble que le petit Karim de Lyon est encore bien loin du géant Messi, du monstrueux Ronaldo ou encore des Rooney, Kaka et tant d’autres… Karim Benzema n’est pas un grand joueur et il ne le sera jamais ! Il n’aura jamais le ballon d’or car il est plus proche du ballon de plomb tout simplement : réussir à Lyon c’est bien mais cela veut tout juste dire d’être mis dans la catégorie des éternels « espoirs » français sur lesquels on avaient placés tant d’espérances pour récolter au final qu’un vulgaire jus de chaussette : de Dalmat à Luccin, en passant par Meriem l’éphémère ancien nouveau « Zidane » et tant d’autres qui se sont cassés les dents et pourtant promis au départ à une carrière « galactique ». Et oui, même si Karim a toujours la banane pour enflammer la ligue 1, jouer chez les vraies grandes équipes de football ce n’est pas la même chose. Cependant, on demande qu’à voir si le garçon aura les épaules assez larges pour endosser le beau maillot d’un géant du football, et faire la chose la plus difficile en sport : confirmer ses performances et progresser. Affaire à suivre…

 

El Metropolitano, le 01/07/09

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  • : Terminus... tout le monde descend ! Le métro s'arrête, les voyageurs descendent sur le quai de la gare et s'engouffrent à toute allure dans les couloirs du métro en direction d'une sortie vers le monde extérieur et la lumière d'une nouvelle journée qui commence. Prochain arrêt : politique, sport, art, culture ou économie... à vous de choisir votre direction dans le dédale du métro.
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erminus... tout le monde descend !


Le métro s'arrête, les voyageurs descendent sur le quai de la gare et s'engouffrent à toute allure dans les couloirs du métro en direction d'une sortie vers le monde extérieur et la lumière d'une nouvelle journée qui commence. Journal à la main ils viennent peut être de découvrir les informations, ou ont entendus de petites brêves que s'échangent deux collègues non loin d'eux. Stop ou encore la correspondance vers le train de l'actualité n'attend pas : attention le train repart ! Prochain arrêt : politique, sport, art, culture ou économie... à vous de choisir votre direction. Montez dans la rame jusqu'au Terminus du train ou s'échange l'actualité et les polémiques sur le Monde qu'il va falloir regagner quand le train s'arrêtera et que le conducteur signalera au voyageur le terminus du train et le moment de remonter vers la lumière du jour...

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